Signal sur bruit, performance


  • 83246058_2535335593381552_2312000755365576704_ntc
  • 83738759_181475186281230_512559442894520320_n
  • 84300900_1553936754762876_9176840232320892928_n
  • _DSC0935-Modifier-Modifierw
  • _DSC0806-Modifierw
  • En chair et en son#5 – Maite (1)w
  • _DSC1012-Modifierw
  • 83284028_1054458561559312_1999708967399325696_n
  • 84081102_1140297396316416_9120710017694040064_n
  • 89427182_551279705499972_5050824429915865088_n
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • 83149485_586206898890817_3237416317589913600_n
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • 84331673_851017535336179_402965964993331200_n
  • En chair et en son#5 – Maite (5).cut
  • SergeRouxPhoto.fr
  • Untitled-1
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • SergeRouxPhoto.fr
  • En chair et en son#5 – Maite (6)
  • En chair et en son#5 – Maite (9)
  • SergeRouxPhoto.fr
  • En chair et en son#5 – Maite (10)
  • SergeRouxPhoto.fr
  • DSC01350w
  • DSC01349cw
  • mde
  • mde

Avec Maite Soler (danse) et Guy Reibel (son) : « Signal Sur Bruit ». Compagnie: La main qui danse. C’était Samedi 26 oct 2019 au Cube, lors du Festival ‘en Chair et en Son’ à Issy les Mulineaux, et le 24 et le 31 janvier 2020 au P’tit Denfert, à Sète. Technique lumière. Cloé Chope (au Cube) et Hervé Villechenoux / Damien Serban (au P’tit Denfert).  Photographies par Serge Roux, Fabrice Pairault, Pierre Alventosa et Nino Cordier.

Vidéo avec Guy Reibel  « Impressions sur la pièce chorégraphique » par Irène Oki.

Textes-Temoignages.

« (…) Rien que la peau comme une étendue sauvage, vibrante, frémissante. Un souffle se perd, se cherche, revient dans la poitrine. Animal en devenir. (…)  Sauvage, colère, force. Quelle force sauvage ? sauvagerie‐bleue-­folle, folle d’être. Folle de vie. »  Cile


 » Tu te doutes qu’il y a des positions que je n’aime pas trop, mais tout cela est balayé par la force, l’inventivité, la façon physiologique comme une re création de l’humanité: des insectes, en passant par les poissons, les dinosaures,  dont se déroule ta chorégraphie, cette lutte contre tout ce qui nous bride, nous emprisonne, jusqu’au triomphe final de l’animal vainqueur qui dévore la machine faite pour griller les siens.

J’étais tendue, mon regard voulait capter le moindre frémissement d’un doigt de pied,il n’y avait pas un mouvement inutile. Tu paraissais très grande.  » Françoise Delphy.


Lascauxlithe

« Naître ou ne pas naître, / ce n’est pas la question, / le jeu / fait le ventripède ! // On souffle, / on inspire, / on souffle, / on inspire, / on souffle, / on inspire, / on fait le nombril, / on se dégonfle, / on s’égosille, / on s’archiméde, / on s’argilise, / on se débrouille avec nos tas de boue, / fier / à la fois couché, / fier / à la fois debout / sans se rencontrer. // Au fait / on / c’est moi qui me donne en spectacle, / et vous / c’est on / qui me regarde. // À l’origine / on se croit mèche / on n’est que suif, / on se vertige, / on, / c’est toi, / qui sait / qu’ça sent la morue jusque dans l’coeur des frites / à New-York, / à Madrid, / aux Seychelles, / à Nazareth, / aux favélas. // On se lève, / on s’accouche, / on crève, / on fait l’abcès, / ça soulage, / on rumine, / on respire, / on souffre, / on respire, / on souffre, / on respire, / on souffre, / on se gêne avec l’oxygène, / on s’humanise, / on c’est vous / que j’interpelle / avec ou sans voix, / je m’enscène à vos tas, / debout, / je m’équilibre, / on s’harmonise, / on se vertèbre, / on s’ idéale, / on se flingue, / on c’est vous, / c’est moi qui meurt à genoux, / le cœur en dent de scie, / la gueule ouverte, / un vers de trop pour la peau, / ça rumine, / on se révolte, / on s’assouvit, ça fait pierre à l’ego, /c’est musculaire / et minuscule… «  Didier Humann


« (…) Le papillon a décidé de ne faire qu’un avec la lumière / De l’avaler / De se fondre en elle / De disparaître dans la lumière / Et la lumière elle-même a disparu / Nous plongeant à nouveau dans l’obscurité / Je le sais / J’étais là / J’ai vu Le Papillon avaler la lumière. » Jef


« Magicienne sans limite des temporalités détournées / Amante du bleu de l’abysse / Ignorante du pas lisse (…) » Carmen Schlosser-Allera


« (…) Malgré la force et parfois la brutalité des images, j’y ai vécu aussi d’un bout à l’autre une beauté étrange, une sorte de transmutation alchimique du plomb en or. Coincidentia oppositorum. Un grand merci. «  Jean Graybeal


« (…) ce matin entre le sommeil et le réveil, j’ai eu une réponse : 2001 Odyssée de l’espace de Stanley Kubrik. Le tronc de lumière devenait le parralépipède du film; le devenir de l’humanité sur Terre, entre naissance et mort , mais sans mort, l’éternité , je crois …. ».  Marie-Jo Marchand